• Anastasia Virganskaya Gorbatchev, 17 ans, petite-fille de
    l'ex-président soviétique Mikhaïl Gorbatchev, participera le 27
    novembre au "Bal des débutantes" de Paris sous les ors de l'Hôtel de
    Crillon.



    Anastasia Virganskaya Gorbatchev portera une robe Versace.


    En
    2001, Xenia, la première petite-fille de Mikhaïl Gorbatchev, soeur
    d'Anastasia, avait participé au bal dans une robe Dior, au bras de son
    fiancé Kiril Solod qu'elle a épousé depuis.


    Au
    calendrier mondain de l'aristocratie européenne et du gotha, le "Bal
    des débutantes" de Paris marque l'entrée dans le monde de jeunes filles
    de la "bonne société".


    Une nouvelle fois, ce bal
    sera donné au bénéfice de l'Université Pierre et Marie Curie et de
    l'Association pour le développement de vaccins contre le sida et les
    cancers.



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  • Le Conseil d'Etat constitue pour l'ancien
    activiste d'extrême gauche italien Cesare Battisti le dernier recours
    juridique possible pour empêcher son extradition vers l'Italie,
    autorisée samedi par le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin.



    "Nous
    allons bien évidemment déposer un recours devant le Conseil d'Etat", a
    indiqué Eric Turcon, l'un des avocats de l'ancien responsable des
    "Prolétaires armés pour le communisme", en cavale depuis le 21 août,
    date à laquelle il ne s'est plus présenté à son contrôle judiciaire.


    Si Cesare Battisti
    était interpellé, il pourrait être immédiatement extradé vers l'Italie
    car le recours devant le Conseil d'Etat n'est pas suspensif, a souligné
    son avocat, indiquant cependant qu'"il existe une tradition française
    qui est de ne pas extrader quelqu'un tant que son recours n'a pas été
    examiné par le Conseil". Si le gouvernement choisit de ne pas attendre
    l'examen au fond du recours et d'extrader Cesare Battisti dès son
    éventuelle interpellation, sa défense saisira le Conseil en référé, a
    précisé Me Turcon, qui constitue, avec Elisabeth Maisondieu-Camus et
    Pierre Haïk, la nouvelle équipe de défense de l'ex-activiste depuis le
    rejet de son pourvoi en cassation.


    Le 13 octobre,
    la Cour de cassation avait mis fin au parcours judiciaire de la demande
    d'extradition présentée par l'Italie, en confirmant l'arrêt de la cour
    d'appel de Paris du 30 juin qui lui avait donné un avis favorable.
    L'affaire Battisti a débuté en février 2004, lorsque le ministre de la
    Justice Dominique Perben a décidé que la procédure d'extradition à son
    encontre allait "reprendre son cours".


    Installé en
    France depuis 1990, celui qui est recherché par l'Italie pour plusieurs
    assassinats commis durant "les années de plomb" est devenu gardien
    d'immeuble et auteur de romans policiers édités par Gallimard. Cesare
    Battisti a longtemps été protégé par la "jurisprudence Mitterrand" qui
    permettait depuis 1985 aux anciens responsables italiens d'extrême
    gauche impliqués dans des actions violentes de rester en France s'ils
    avaient renoncé à toute activité terroriste, à l'exception des auteurs
    de crimes de sang.


    La relance de la procédure
    d'extradition, après le rejet d'une première demande de l'Italie en
    1991, a donc soulevé de nombreuses réactions hostiles, notamment dans
    les rangs des partis de gauche ou parmi de nombreuses personnalités du
    monde littéraire et artistique qui ont dénoncé le non-respect par la
    France de la parole donnée. C'est dans cet esprit qu'ont réagi François
    Hollande, premier secrétaire du PS et Gilles Lemaire, secrétaire
    national des Verts, après l'annonce de la signature du décret.


    "M.
    (le chef du gouvernement italien Silvio) Berlusconi pourra considérer
    qu'au-delà du cas de Battisti, il pourra demander l'extradition de tous
    ceux qui vivent ici en France, au prétexte qu'il y a sur eux tel ou tel
    soupçon par rapport aux années 70", a affirmé M. Hollande. "Le Premier
    ministre avait été interpellé, il a préféré rester sourd, c'est dommage
    pour le droit et la parole donnée", a-t-il ajouté, alors que Gilles
    Lemaire faisait part de la "colère" de son parti.


    "Réaffirmant
    leur solidarité avec les réfugiés italiens", les Verts "espèrent que
    l'Etat français ne mettra pas à exécution le décret et demandent au
    président Jacques Chirac de respecter la parole de la France".







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  • L'ancienne candidate à la présidence colombienne Ingrid Betancourt,
    otage de la guérilla des FARC, aurait failli mourir au cours d'une
    grève de la faim entreprise pendant sa captivité, a déclaré samedi à
    Bogota sa mère Yolanda Pulecio.



    Mme Pulecio a
    indiqué à l'AFP avoir reçu vendredi un coup de téléphone d'une personne
    qui a rencontré un "médecin de service" des Forces armées
    révolutionnaires de Colombie (FARC-guérilla marxiste)


    "Le
    médecin a déclaré à cette personne qu'Ingrid avait entrepris à trois
    reprises des grèves de la faim et qu'au cours d'une de ces grèves elle
    a failli mourir, et qu'il a fallu la ligoter pour lui administrer du
    sérum et lui sauver la vie", a poursuivi la mère de l'otage
    franco-colombienne.


    Mme Pulecio, qui a refusé d'identifier sa source, a fait part des angoisses des autres membres de la famille Betancourt.


    Ingrid
    Betancourt a été enlevée par les FARC le 23 février 2002, alors qu'elle
    était candidate à la présidence de la Colombie pour le parti écologiste
    Vert Oxygène.


    Les FARC retiennent 1.600 otages,
    selon les autorités, dont 21 responsables politiques, 47 officiers de
    l'armée, trois Américains, les autres séquestrés étant des civils
    colombiens. 300 rebelles des FARC sont détenus dans les prisons locales.



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  • Le corps de l'alpiniste allemand Helmut Simon, qui avait découvert
    "Hibernatus", une momie vieille de 5.300 ans, en 1991 dans un glacier
    du Sud-Tirol (Haut Adige italien), a été retrouvé samedi par un
    chasseur dans un ruisseau près du mont du Gamskarkogel (300 km à
    l'ouest de Vienne), a annoncé une porte-parole des secouristes de
    Salzbourg.



    Selon Andrea Hinterseer, porte-parole
    des secouristes de Salzbourg citée par l'agence autrichienne APA, après
    sa découverte du corps de l'alpiniste dans la matinée de samedi le
    chasseur a alerté les secouristes qui ont ensuite transporté le corps
    de Helmut Simon, âgé de 67 ans, dans la vallée où il était attendu par
    son fils.


    Selon APA la gendarmerie de Salzbourg doit décider des prochaines démarches.


    Depuis
    une semaine une centaine de gendarmes et des hélicoptères avaient été
    déployés pour tenter de retrouver Helmut Simon, disparu depuis le 15
    octobre au Gamskarkogel où il était parti ce jour seul en randonnée.


    Helmut
    Simon, domicilié à Nuremberg (sud-est de l'Allemagne), avait quitté
    seul la station thermale autrichienne où il passait ses vacances. Il
    devait être de retour dans la soirée après l'ascension du Gamskarkogel
    (2.467 m) qui nécessite quatre heures de marche pour un randonneur
    expérimenté.


    L'alerte avait été donnée par sa
    femme, Erika, qui accompagnait son mari lors de la découverte
    d'Hibernatus en 1991 dans le Tirol italien. Erika Simon était rentrée à
    Nuremberg depuis quelques jours.


    Helmut et Erika
    Simon étaient devenus célèbres après avoir découvert cette momie
    vieille de plus 5.300 ans en excellent état de conservation dans le
    glacier de Similaun, à plus de 3.000 m d'altitude, à la frontière entre
    l'Italie et l'Autriche.


    La momie est conservée
    depuis à Bolzano (Italie) et constitue une mine d'informations sur la
    vie quotidienne à l'aube de l'âge de bronze.



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  • Le prince Harry, fils du prince Charles et de la défunte princesse
    Diana, ne fera pas d'excuses à la suite de son altercation avec des
    paparazzi alors qu'il sortait d'une boîte de nuit de Londres jeudi
    matin, a annoncé samedi son secrétariat.



    "Cela
    semble assurément être le mois pour les excuses, mais non, je ne crois
    pas que cela soit vraiment nécessaire. Je crois que c'est assez clair",
    a déclaré Paddy Harverson, le responsable de la communication du Prince
    Charles sur la BBC Radio FiveLive.


    "Je crois que tout cela était regrettable", a-t-il ajouté.


    "Je
    crois que (le prince Charles) a apporté son soutien à son fils, car je
    pense qu'il comprend la situation dans laquelle il s'est trouvé".


    "On espère que ce genre de chose ne se reproduira pas", a-t-il néanmoins souligné.


    Selon
    lui, le prince Harry a été "complètement submergé" par les photographes
    en sortant de la discothèque et a réagi car il a été "heurté au visage"
    par accident avec un appareil photo.


    Interrogé sur
    une éventuelle punition infligée au prince Harry pas son père à la
    suite de cet incident, Paddy Harverson a répondu: "Cela est entre le
    prince de Galles et Harry".



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