• Diagana en 1997, après la finale des championnats du monde (Photo Eric Feferberg/AFP/Archives)

    L'athlète Stéphane Diagana, champion d'Europe du 400 m haies en titre, a annoncé jeudi qu'il mettait un terme à sa carrière sportive en raison d'une blessure à un mollet qui l'empêche de préparer les jeux Olympiques d'Athènes.

    "Suite à une nouvelle blessure en date du 5 juillet 2004 (lésion du muscle soléaire du mollet droit révélée par une IRM le 7 juillet 2004) et compte tenu des délais nécessaires à mon rétablissement je ne suis pas en mesure de poursuivre ma préparation" pour les JO, explique le vice-champion du monde du relais 4x400 m.

    "Ayant décidé fin 2003 que la saison 2004 serait ma dernière quoiqu'il advienne, je mets donc ainsi un terme à ma carrière d'athlète", poursuit-il dans un communiqué transmis jeudi par la Fédération française d'athlétisme.

    Agé de 34 ans, Diagana a été champion du monde en 1997 et il est toujours le détenteur du record d'Europe de la spécialité avec un temps de 47 sec 37/100 réalisé en 1995 à Lausanne (Suisse).


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  • Enfin une fiction faite par et pour les jeunes qui répond à toutes leurs questions



    Jusqu'au 14 juin France 3 diffuse une série fiction innovante. Du jamais vu à la télévision. K. ça (décodez "qu'à ça") déboule du lundi au vendredi à 17 heures avec huit ados qui s'interrogent sur la sexualité et sur l'amour. Drôle, ludique, pédagogique et juste, tout cela en sept minutes, chapeau !
    Face aux films pornographiques, aux émissions de radio graveleuses, aux revues spécialisées et des fois même à Internet, qui servent trop souvent d'initiation à la sexualité, est née cette idée lumineuse de série courte :
    K. ça.
    Car chers parents, il faut se rendre à l'évidence, les adolescents ne pensent "qu'à ça". Entre eux ou tout seuls, ils cherchent à comprendre. Et ils veulent des réponses qui soient rapides, concrètes et qui leur parlent, à des questions comme : "Est-ce que je l'aime ?", "Et si je ne lui plaisais pas ?", "Comment on embrasse bien ? ", "Slip ou caleçon ?", "S'épiler ?"...
    Mais K. ça tente aussi de répondre, sans en avoir l'air à des préoccupations plus délicates comme peuvent l'être la masturbation, la drogue, le sida ou les violences sexuelles.
    Répondre sans pudibonderie, en proposant un discours ouvert mais responsable, relève du défi. La minisérie distille, sous forme de sketches ou de messages SMS, des conseils et des astuces sans pour autant dramatiser .
    Les acteurs de la série interprètent huit élèves du même collège, amis (es) ou amoureux (reuses), qui de confidence en confidence faites dans les vestiaires, la salle de gym ou les couloirs, éclairent avec humour tout ce que les ados on toujours voulu savoir sur le sexe. En ressort une vision positive et heureuse de la sexualité, essentielle dans les prémices des relations sentimentales et amoureuses. A quand la suite ? Mélanie Roero

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  • L'ex-président devant un juge irakien. L'image est symbolique, l'enjeu est d'importance. Si l'ex-dictateur a changé d'apparence, sa détermination est entière. "Je suis le président de l'Irak", a-t-il répété au Tribunal spécial. Il a refusé de signer l'acte d'accusation dans lequel figure le génocide des Kurdes et a défendu sa position sur l'invasion du Koweït. photo reuters, lire

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  • "Je m'appelle Julie et j'ai 24 ans. Je travaille depuis plus d'un an maintenant à Paris. J'aime Paris et mon travail, mais quand on vit dans une capitale et qu'on y bosse, on ne se rend pas compte à quel point on est perpétuellement dans la pollution (toxique et sonore), perdu dans une fourmilière de millions d'habitants, toujours en mouvement, toujours à courir ou faire la queue dans le métro, au monoprix, et je ne vous parle pas des soldes...

    Le week-end dernier, avec mon ami, nous avons décidé de mettre les voiles à la mer le temps d'un week-end. Nous avons emprunté la toile de tente d'un copain et nous sommes allés à Piriac. Nous avons trouvé une petite crique quasi vide. Et là d'un coup, face à la mer, j'ai vraiment eu l'impression que tout s'arrêtait. Aussi simple et agréable qu'une respiration. Ce week-end nous a vraiment fait du bien. C'était comme un retour aux sources, aux plaisirs simples, ceux de regarder la mer aller et venir, de l'écouter aussi, de se baigner. Bref, une belle et vraie bouffée d'oxygène.

    Tout le monde sait que partir à la mer, c'est merveilleux pour un parisien, mais si je le rappelle ici c'est justement parce que moi je l'avais oublié... Alors, je conseille à toutes celles qu'on appelle les "urbaines stressées" de s'évader de temps en temps un week-end à la mer, ou à la campagne, à la montagne etc.

    De retour à Paris, la sensation de bien-être ne s'est pas effacée. J'apprécie la vie parisienne et toutes les surprises à chaque coin de rue qu'elle renferme. Je ne pourrais pas vivre dans une petite ville peu animée. Mais je sais aussi maintenant que lorsqu'il y a un trop plein dans ma tête, il me suffit de partir dialoguer avec la mer..."


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